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  • : Cyprine Palace
  • : "un livre sur rien, un livre sans attache extérieure, qui se tiendrait de lui-même par la seule force interne de son style" G. Flaubert
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21 janvier 2010 4 21 /01 /janvier /2010 23:13
J'ai les doigts mouillés dans le doux de ton ventre chaud. Tu me regardes. Je voudrais manger ta vulve ou ta bouche. Mais rien. Je bouge les doigts dans toi et te parle de ces masques de bois et olisbos d'ébenne. Il y a une vitrine comme modelée en vulve de glaise. Je voudrais que tu bailles et que tu ruisselles dans ta culotte que je tirebouchonne. Tu me fixes comme exposée et me jugeant et d'un très loin encore de toi. C'est onctueux et un peu épais dans les plis et froissements des petites lèvres. Il y a par la fenêtre une rumeur de mer et du vent dans les voyages. Je bouge à peine. Etouffe mes doigts dans tes complications de peau. Tourne doucement. Sur le pourtour. Je m'infiltre. Les doigts qui s'emmêlent. Dégagent peu à peu du brouillement de peau, ou s'y enfoncent. Le point où les lents frottements insistent, tournent autour, appuient. La petite bille de nacre et de luisure. Se servir des fouillis de lèvres pour la lustrer. J'aimerais poser la pointe de la langue sur cette irritation. Mais nous sommes dans ce restaurant indien, ma main sous la table et tes yeux rouge de larmes parce que tu as dit que ce n'était pas assez épicé. Ma main que je laisse dans ton djean quand on te parle.
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20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 00:07
Les alcoves blanches de la terrasse sur le lac noir. Les murs épais, tu regardes le lac à genoux sur une table basse et installé dans le transat droit, ta culotte aux chevilles, j’observe ton anus. Je compte les plis roses comme les ravinements d’un gouffre minuscule. Très fins et très serrés, comme infimes, comme un pli à ta commisure douce des lèvres ou à l’amende de tes yeux quand tu me souris. Je devine quelques cristaux de poils blancs de blondeurs. Envie de les arracher un à un. Dégager cette ouverture infinie. La lisser. Je touche avec les doigts. Je prends ta main que je pose sur ton sexe. Ton anus qui commence imperceptiblement à respirer à mesure que tu te caresses. Mon envie de baiser a envahi ma tête. Il y a toi et il y a tout orifice où écouler mon sperme qui me parait le bonheur infini. Toute femme devient un émerveillement et je polis la douceur du pourtour de ton anus, de tous les anus, les béants et les constrictifs, les glabres et les velus. Envie de te lécher cette opacité, le mouiller simplemment, à mesure que tu geints de manière plus sourde et discontinue. Je le vois remuer et hésiter par saccades. Il est blanc et si doux comme la peau de tes seins mous et petits. Rouge à l’irritation comme la bave de ton aréole. Rien n’y rentre. Tout y est interdit. Il plonge de la hauteur flasque de tes fesses qui remuent comme une viande. Aucune fessée, aucune striure de baguette. Le grand silence de l’eau du lac et de ton cul que tu m’exhibes sans objet. La peau par moment grenu d’un vent léger qui passe. Ma langue qui rappe un peu dans cette onctuosité que je ne pénètre pas. L’opacité de l’anus qui attend son heure. Des petites teintes d’ivoire comme dans le blanc de tes yeux. Ton trou me repose. Tu jouis et de petits bourrelets remontent avec un peu de violet et de tentation d’éclosions légères. Sur le bord de... comme un bouton et les pétales de peau qui se retiennent. Il y a un peu d’humide qui te vient et te repose, comme de la cyprine de cul qui se mouille à ma salive et brille dans le silence du lac Slovène.
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18 janvier 2010 1 18 /01 /janvier /2010 00:09
Je passe doucement pour mesurer le détachement du sphincter. Je caresse cette molesse mauve un peu humide. Je ressource mes doigts à la vulve et vient déposer un peu de cyprine pour détendre et lubrifier l'anus. Tu es sur la terrasse, à genoux, la tête allongée sur tes bras et le rebord de la terrasse. Il n'y a pas de vent. Les maisons alentours sont dans le noir et on devine dans le loin la découpe des montagnes qui tombent abrubtes dans la mer. A genoux derrière toi qui ne voit plus ni les toits du village, ni le pourtours de l'île, je pose ma langue sur le serrement du trou. Je te lèche l'anus compliqué. Je fouille. Je presse. Je force. Je t'analincte, ma langue au plus profond jusqu'à m'étouffer dans la raie des masses de croupe. Je salive et récure. Je nettoie ton cul. Je m'y prépare. Je le trompe. J'y remets deux doigts mais qui restent autour et n'écartent qu’à peine le baillement à venir du boyau. Je me redresse. Je pose mes mains à l'élargissement de ta croupe. Il y a le figuier, un bougainvillier et des oliviers dans la nuit. Je bande, le prépuce entièrement décaloté, luisant de lune. Je le place sur l'incurvation humide. Je serre un peu tes hanches. Je reste à l'orée du trou, légerement appuyé, puis progressivement appuyant un peu plus en commençant à serrer les ongles dans le gras des peaux. J'attends la très lente ouverture du trou. Des stations où je laisse ton resserrement s'habituer à mon encombrement jusqu'à la station suivante. Ton souffle est plus saccadé, tendu à redouter la douleur forte d'un sphincter qu'on brusque. Les plis de peau qui se reconstituent autour de mon sexe. Il y a le moment soudain où tout bascule. Le point de rupture. De petites poussées en petites avancées milimétriques, soudain le sphincter qui se détend. S'ouvre absolument, sans retenu et avec grande largeur. Alors continuement et d'un seul long coup et sans rien brusquer, j'enfonce mon sexe bandé jusqu'au fond de ton boyau et à écraser mes poils contre la raie mouillée et velue de ton cul. Jusqu'à ce qu'enfin le sphincter se referme sur l'étouffement de ma verge. Je ne bouge plus. Et le seul mouvement de tes muscles, boyaux, anus, dans leur lente mécanique de poussées, constrictions et saccades pour l'expulsion de cette déjection... font monter le jus et l'irrépressible électrisation approchant l'orgasme. C'est ton corps qui bouge en toi, qui compresse mon sexe comme une masturbation forte. Rien ne bouge. Tout bégaie à l’intérieur. Je regarde l'engloutissement de mon sexe dans ton fond. Comme détaché. Je sens, irrépressible, la montée du sperme par flots. Et... les saccades brusques qui lâchent longuement tout ce sperme dans le gros intestinct, que j'imagine remontant dans ton ventre, puis comme un peu de bave à tes lèvres, quand tu te retournes en me souriant, après une fellation. Tout le sperme qui a envahi ta bouche.
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10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 14:21
Tu as froid. Petit pull en grand V sur ton bombement léger de sein. L'aréole saisie par le vent sur la peau mouillée par l'averse. Chambre toute blanche de chaux. Murs irréguliers. Larges planches de bois brut sous tes pieds nus. Comme en Grèce. Tu me regardes. Tu ne dis rien. J'avance une main. Tu avances la tienne. Tu m'arrêtes. Je n'insiste pas. Tu l'accompagnes alors vers ton ventre. Je me glisse sous la laine fine. Ton ventre chaud. Comme son souffle. Le tien. Tu regardes loin. Je remonte à toucher ton sein. Couvrir ton sein. Première fois après tous ces déjeuners, chat, sms. Il est dru et il est chaud et je passe et repasse le bout des doigts sur la raideur du têton. Je lève ton pull, me baisse et te lèche le ventre, tu me laisses, je remonte, lent et avec un peu d'avidité, je mouille et aspire cette mollesse comme d'un sein naissant, j'aspire et je suce. Ma main descend à la braguette de ton jean avec ton aréole que je trempe dans ma bouche. Et d'abord c'est le doux et soyeux des poils. Comme une petite sauvagerie autant qu'une résistance. Sans relief, comme épais d'être écrasés par la culotte. Le moment soudain où, comme une soif, je touche le mouillé, doux, où tout s'enfonce dans la chaleur suffoquée de toi.
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10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 11:36
Déjà un turquoise blanc de jour. Cinq heures à peine. Il y a des lattes de bois sur la terrasse. Il y a la mer et l’envahissement de tes poils. Toute ta peau très blanche de l’hiver et le désordre qui prospère. Les béances hirsutes dans l’écart du cul que tu exposes. Penchée vers la mer. Ils sont longs, épais, proliférant. La vie opaque dans l’enchevètrement pileux. Tout en filamment de boucles rudes et noires. Comme un grand animal résigné à subir un envahissement par les boyaux. Comme si la mer allait te prendre et que tu t’y ouvrais. Je me mouille de salive les deux doigts qui cherchent dans l’embroussaillement. Ils montrent la raie. Ils séparent et exhibent. Il y a du rouge qui attend le jour. Je lisse les plissures violettes de l’anus qui vient à l’abandon. Tu te cambre un peu davantage. J’ajuste la hauteur. Je te lèche dans l’étouffement de mon haleine.
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10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 09:01

Depuis 3 jours les humeurs grondes. Dans ces grandes chambres désertées chacun s'endort dans le refus de l'autre. La saturation gagne nos humidités. De rage tu me mords dans le compartiment collée contre moi toute fenêtre ouverte avec les rideaux ternes qui battent contre la vitre. Tu te lèves et je te suis vers les toilettes. L'odeur monte aux yeux, entre l'ammoniaque et des purins de zoo. Il y a de l'urine rance et des poils dépareillés autour du trou sans cuvette. Je rabats le loquet et te pousse vers la fenêtre. Vite tu t'agrippes et je dégage ma braguette, monte ta jupe écarte la culotte de la raie et cherche les trous. C'est déjà mouillée, tu gémies, je te mords et te lèche le cou. Je cherche l'anus et m'y pose, bien au centre. Tu te cambre, retiens ton souffle, d'appréhension sans refus, tu écartes un peu les jambes. Je pose, j'appuie, j'attends les quelques instants de relâchement de ton sphincter saisis... et puis en essayant de contenir les brutalités du rail, je t'enfonce le gland bandé jusqu'au fond sans plus m'arrêter. La poisse suinte avec les odeurs nauséeuses et les maculages de merde sur la cuvette. Je bouge et augmente le va et vient dans tes grosses fesses blanches. Je fais des amplitudes plus grandes et ton relâchement s'abandonne. Je peux sortir le gland et laisser le bâillement rouge et huileux de ton anus avant d'y repartir jusqu'à toucher des boyaux qui te font essayer d'une main de me retenir. Je me serre à tes seins avec des envies de déchirer dans mes ongles. Je tape fort et je sens vite après ces trois jours de pourrissement que je vais jouir, que je suis plein de sperme, que tout ce bruit de métal sur les rails cogne dans ma tête. Tu me laisses, tu laisses tendu ton cul et je sens tout le sperme qui dégorge au fond de ton trou, les saccades, les soubresauts des derniers jus que j'abandonne au fond de toi, suant, essoufflé, calé les dents dans ton épaule. Tu écoutes. Je me sors de toi avec du suintement de liquide jaune un peu fécale et des fils huileux de reste de sperme déjà plus liquide et jauni de merde. Je mets à terre ta culotte et te pousse sur la courte tablette sale du lavabo. Tu es assis et tu me regardes pleine de la force de ne pas en rester là. Je t'ouvre et t'écarte haut les cuisses. Je plonge et écrase le blanc de ma langue sur toute la mouillure de petites lèvres irritées d'impatience. Il y a toute l'âcreté, les nœuds d'urine et de petites salissures blanches que je lèche. Je te lèche, je te lave, je te récure. J'appuie, écarte les chiffons, cherche le clito et les coins où tu t'agrippes. Je lape, je lippe et j'accélère. Tu m'appuies la tête, écartes les cuisses, écartes encore, et d'un coup, tu refermes, tu m'étouffes, tu te bouches de l'avant-bras d'un grand cri rauque, tu appuies encore, tu ne veux pas que ça cesse. Tu descends de ce bois qui colle et attache la peau nue de tes fesses. Tu abats mon pantalon et caleçon à mes chevilles, et accroupie, tu prends dans ta main mon sexe mou, gluant, avec des morves de sperme un peu séchées et des marrons de merde qui viennent de ton cul. Tu essaies de le branler d'une main pour le faire rebander. Tu l'enfournes dans ta bouche, l'inondes de bave et commence le suçage pour le retendre. Tu me suces. Tu me nettoies. Tu me comprimes et tu m'aspires. Je sens que ça revient dans les pestilences et le fracas de ce train étouffé de chaleur moite.

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10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 00:04
Il y a de hautes colonnes de métal. Les tiges compliquées de masses de lys blancs dans des formes géométriques de verre épais. Des serviettes humides et chaudes. La mer de Chine et les courbes du Harcourt garden. Tu es sur la table et je lèche les mamelons marrons de tes petits seins qui ne pendent pas même. Le cône de ta peau de papier que je mouille. Il y a le goût un peu de colle de nos errements dans les ruelles chaudes. Je t'essuie avec les serviettes chaudes et m'applique à déplier une à une les lamelles de tes peaux roses. Il y a de larges pétales d'ibiscus sang sur le rebord des nappes de coton blanc. Je frotte en te regardant le haut des lèvres. Je veux que tu te caresses. Comme s'il y avait une fine pélicule d'eau au-dessus de laquelle tu t'appelais bien Weï. Et au-dessous de laquelle mon sperme envahissait mon cerveau en fines veinules et filaments d'argents. Je vois tes doigts qui n'entrent pas et appuient avec une force lente. Tu ne cesses rien et je vois tes yeux qui ne me voient plus à la recherche de quoi qui n'est jamais nous. Tu es à quatre pattes sur cette table et alors que tu ne cesses ton travail de doigts, j'écarte les deux fesses bistres de ta raie dont sur l'anus resséré je pose ma langue. Je te lèche tout le cul et je nettoie jusqu'aux profondeurs là où je parviens peu à peu de ton boyau chaud. Je lèche le plat lisse et courbe de tes fesses et les sueurs aigres déposées dans cette raie que je sépare, que j'écarte, dont je fouille et détend la profondeur. Parfois maintenant je touche tes doigts qui m'ignorent et sont dans des sacades lentes et un peu brutales de hoquets rauques. Tout soudain qui baille de ma langue et mes doigts dans le suintement ouvert de ton anus quand tu jouis d'une longue saccade.
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10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 00:02
Puisqu'il fait si chaud. Les volets de la chambre sont toujours rabattus. Les rideaux lourds en panne de velours sont tirés à moitié. Il y a la rumeur de la climatisation dans la pénombre de la chambre et le calme du patio intérieur sur lequel les fenêtres sont closes. Tu as une robe légère et brique avec de petits motifs blancs qui te colle à la peau. Les cheveux en désordre retenus d'un crayon de bois. Tu n'as rien mis d'autre que cette robe sur ta peau chaude de retour du Pincio. Il y a des mèches qui collent au visage et au cou. Mouillée de cette chaleur et de ce temps que nous savons que nous avons ici et maintenant dans cette chambre. Je referme la porte de bois vieux de deux tours. Tu es là, devant, accroupie à servir deux campari avec de l'orange du mini-bar. Je bande avec ce petit aveuglement où je bascule. Tu as la voix chaude et nous goûtons ces lentes minutes avant que nos doigts, les bouches dans les trous ou de longues lampées étouffantes, les congestions de choses musculeuses, que tout cela se liquéfie de nos sueurs et des heurts sourds. Mais rien encore. La légerté de ta robe qui volette sur rien. Et nos gestes qui se frôlent encore et se désaltèrent.
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9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 23:59
Je suis debout sur le parquet glacé de cire avec les couilles qui pendent. Il y a des poils clairsemés et la peau frippée sur les chiffons de bourses. Tu me mets à quatre pattes sur le bois et me fais écarter un peu les cuisses. Il y a des touffeurs de verdure sur la terrasse entre lesquelles on ne voit rien. Il y a des ogives larges et blanches au-dessus des portes et des vastes sièges d'ében noir. J'ai le cul nu et tu es par derrière à quatre pattes également. Tu me lèches les fesses et la raie. Tu me lèches l'anus et les noeuds de poils usés sur le bourrelet de ce trou. Tu lèches les couilles pendouillantes, le sexe épais et mou. Décalotté et fripé. Ce vestige de la bête pour notre reproduction. Tu renifles dans mon cul huilé et qui se mouille de sueur. Je te sens mordiller les flétrissures des bourses et tu gobes mon sexe mou.  Tu es dans mon dos, entre mes cuisses ouvertes. Tu me décalottes et baves un peu sur cette viande flasque. Tu t'étouffes dans l'enfourmement de la queue et des boules. Tu suces, aspires et je sens que du sang se dégorge dans les masses caverneuses. Ça se déplie et fouille l'étouffement dans ta gorge. Je bande. Tu lèches le singe de mon anus. Sa corolle épaisse. Plus tard, tout rebasculer. Ou se rincer dans l’Océan chaud.
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9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 23:56
Tout remue dans des acajous qui grincent. A chaque gare, la nuit, on entend dans l’étouffement de chaleur “tchaï, tchaï” montant du quai. A un moment, je me suis retrouvé le nez dedans. Il y avait cette odeur chaude, acre et humide. Quelque chose d'un peu acide et rance dans les plis de l'aine et le rebord des lèvres mauves, un fond d'urine tapis dans les poils collés au pubis par la culotte que je dépiaute. Puis cette eau un peu plus saliveuse et légère quand je commence à lécher doucement à l'intérieur. J'écarte le rebours et m'enfonce comme sans fond. On s'ouvre et m'accueille. Je pousse, je nettoie autant que je fouille. Il y a de l'eau qui commence à venir. Ton sexe est propre, chaud, et je le laisse s'ouvrir, se déplier. Je m'applique de la langue à redisposer sans succès les fines plissures des petites lèvres en pagaille. Les poils si noirs, les foncés de bourrelures marrons. Cela baille, s'effondre de rouge dans l’ouverture et de suintements limpides et huileux. Je suis de la langue les contours. Les peaux avec les grains. Les lèvres. Je fouille et me disperse. Je glisse vers la commissure enfouit du noeud des petites chairs roses que je dégage. Un peu de nacre qui respire, que je couvre d'eau et contourne d'une mollesse de langue. J'absorbe le tout que j'aspire et remue.
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