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  • : Cyprine Palace
  • : "un livre sur rien, un livre sans attache extérieure, qui se tiendrait de lui-même par la seule force interne de son style" G. Flaubert
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3 janvier 2010 7 03 /01 /janvier /2010 11:20
Grande baie sur downtown Reno. Tout est bleu et gris. J'attaque par l'aréole. Tu te réveilles. Je regarde sa flaque molle et j'écoute ces rumeurs de rues étrangères. Je m'approche et je pose juste ma bouche close sur la peau si lisse de s'être abandonnée à la chaleur des draps. Cet abandon de l'aréole quand elle s'étend et se répend dans le sein mou et doux. Aucun relief, à peine les nuances de couleurs avec comme en négatif le bouton camouflé. Je laisse mon nez. Je hume, je palpe. Je pose un peu ma bouche avec insistance. Je mouille un peu mes lèvres. J'entrouve la bouche et flotte avec de fins fils humide sur cette onctuosité qui bat. Je tisse un désordre avec un peu d'adhérence, je me calle, la bouche entière qui se colmate sur ton sein. J'aspire légèrement. Et du fond de la gorge, je sors la langue que je viens poser d'un coup à plat sur le têton. J'appuie, je mouille, je pourlèche. Tout qui se dresse, ta peau devenant grenue, le monticule qui se durcit. Un relief se dessine. Tu bandes. Je te mordille, léchouille. J'alterne un rythme irrégulier de suçons et de salive qui t'amollissent. Je lèche ton sein bandé. Tes yeux béent. Ton souffle se saccade et tu écartes grands tes jambes nues sous les draps. Je me concentre et lèche et aspire et caresse de la langue et des lèvres cette mamelle mouelleuse, épaisse et chaude. Tu gémis. Tu gémis fort. Et resserres d'un coup tes jambes.
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3 janvier 2010 7 03 /01 /janvier /2010 11:19
Il fait grand jour. Rideaux de pluie et des brumes sur les monts Grampians. La pierre ruisselante et luisante des ruines du vieux château de Kildrummy. Les quatres bow-window sur la terrasse et les balustres. Fenêtres basses qui arrivent aux genoux. Tu es accroupie et je vois d'abord apparaître cette peau nue, un peu épaisse en contraste avec le visage si fin et blanc de blondeur aux sourcils. Et puis cette surface de bronze, mate, déjà dorée contrastant avec les peaux laiteuses du personnel. Je ne parle pas ta langue ni toi la mienne. Je touche cette peau chaude et comme indénudable. Je défais le bouton du djean et baisse ta taille basse emportant un string de coton et dentelles blanches. Tu dis quelque chose que je ne comprends pas, mais tu me laisses faire. Je te caresse la croupe, je passe un doigt dans la raie qui est chaude. Il n'y a presque rien qu'à peine un fin duvet que je devine, et je touche sans m'y être préparé des chiffons de petites lèvres toutes mouillées. On voit par la fenêtre, de l'autre côté du jardin au creu du vallon, les hautes ruines de l'ancienne chapelle du château. Je mets ma langue sur ton anus sec et sans aspérité, tu reposes ta tête sur la moquette bleue et redresses un peu tes hanches. Je m'y installe, te tiens par les deux mains, et descends ma langue pour sécher ta vulve que je découvre si rose et avec si peu de poils taillés ras et dans cette forme de colonne que je trouve commune.
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3 janvier 2010 7 03 /01 /janvier /2010 11:17
Mer grise et turquoise avec du vent dans tout le blanc des mousselines. Déjà de la sueur qui nous met humide dès le matin. Plein soleil à travers les claies.
La bouche parfaitement ajustée à l'amende. La douceur fragile de toutes les lèvres. La rugosité un peu âpre des poils du rebord. Le petit enflement liquide à mesure que j'infiltre ma langue, fouille les nodosités du canal rouge et que tes contractions strillent. Je lèche les coussins rouges dans la vulve. Contraindre de la lèvre supérieure l'infime capuchon qui se découvre dans les à-coups et suintements de cyprine. Je bouge la bouche et ton baillement s'évase, grandes lèvres écarts, petites lèvres avachies et distendues et ma bouche qui s'absorbe dans cet effondrement de rouge. Je la déplie lentement, la replie, par moment la tend jusqu'à la cambrure. Je te lèche, te pourlèche. De ma langue j'écarte tout, je force tout. Je l'enfourne et je m'immisce. Par moment elle prend une petite vitesse de frénésie. Je te lappe et je te lipe. Je suce, aspire, malaxe les tissus de nymphes. Je mordille et contracte. J'arrête d'un coup.
Te lisse lentement le sexe de la langue. Je reprends. Je l'agite. Je veux que tu jouisses. Que tu te cambres. Quand tu m'étouffes dans le resserrement de tes cuisses. Et que tu râles de ça. Que tu m'innondes. Que tu retombes. Comme un avachissement et le retour enfin du sens de tout.
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3 janvier 2010 7 03 /01 /janvier /2010 11:15
Plumeau d'acajou sur l'armoire à glace. Toiles Fortuny sur des tringles forgées de noir et vitraux en cul de bouteille mauve, vieux rose et vert délavé. Recourbée en avant comme une poire qui oscille sur mon sexe roide. Je te tiens ce cercle de croupe qui se dédouble dans la glace. Tu échappes. Il y a ton épaule qui ondule et se déploie. Cette pelure nue et absente même l'hiver dans cette chambre chaude. L’invraissemblable exhibition lisse et nue de la peau humaine. Blanche. Tu bouges et expose la trousse. Il y a l'épaisseur molle, ferme et blanche du cul que tu soulèves. Comme une bourrelure qui marque l’écart entre la cuisse large et l’opulence de la fesse fendue des trous. Cette force et cette masse corpuleuse de grand animal. Tes mamelles qui remuent. Lourdes, lentes. Plus de cinquante kilos de viandes. Si lisse, si blanche, si nue. Simplement de longs cheveux bruns en désordre, en torsade de crin et d’épaisseur. Une mousse de poils noirs aux aisselles et ce reste de pelage du temps des grottes dans l'écartement de l’aine. Densité de frisures qui se collent. Gras et humide, comme un gel, par mèches et ce baillement rouge qui suinte. Les lèvres épaissent contaminées de poils qui les couvrent jusque vers l’intérieur, et les fines ridules irrités de sang de petites lèvres. Cet oeil rouge chiffonné comme du coquelicot. Tu rampes, tu grimpes, grognes. Il y a ton reflet dans la glace qui baie de l’armoire. J’ai de la bave et le sexe roide luisant de cyprine. Tu joues et retardes. Des rumeurs de gondoles et motoscaf sous la fenêtre. Tout assourdi par la neige de ces jours derniers sur Venise. Il y a du rut. Je cherche à aggripper de mes ongles le gras mou du cul. Je veux l’écarter, l’enfourner. Qui me bouscule. Tu lèches l’anus bourrelé, les couilles. Je prends la masse mamellaire. Aspire au sang les aréoles larges et fondues de lait. Je te suce. Je sens tes glaires quand je pousse une secousse de mon gland étouffé dans ta gorge. Il y a du souffle rauque. Il y a de l’amnésie. L’espèce prête à beaucoup trop. Une rumeur de sueur, de hoquets avec un goût acre dans ton sexe et des giclés de filamandreuses blanches comme des méduses la nuit.
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3 janvier 2010 7 03 /01 /janvier /2010 11:13
Puisque tu dors. Je rode autour de ta croupe monumentale. Il y a l’Agua Bathhouse et la cage de verre de la salle d’eau ou tu passes tes journées. Zest End. Nue. Les draps en chiffons et tes cheveux longs, épais, emmêlés... La peau molle et qui brille. Trop chaud dans la chambre avec le givre dehors qui fume par endroit. Je bande nu. J'écarte tes jambes dans ton sommeil. Le noir des poils remonte dans ta raie qui s'entrouvre. Comme accroupis au-dessus de toi, je passe le gland congestionné de retenu dans ce nid de poils. Je pousse un peu. Je le pose. Je sens du mouillé au fond des poils. Je m'en lèche doucement le gland. Le laisse déraper, et remonter dans le resserrement de la raie touffue jusqu'à l'anus clos. Je n'en peux plus. Je me lève avec mon sexe et je vais à la fenêtre. Tu geins un peu. Tu remontes la croupe. Et je vois sortir, comme fleurir, dans ton entre-cuisses, deux mains qui très lentement écartent, caressent, appuient les pourtours de vulve, en passant avec soin sur le haut de jointure. Je t'entends geindre plus fort. J'entends ton souffle un peu rauque. La place rouge s'évase, avec des suintements et des lamelles, fibrules de nymphes. Tu dégorge soudain de plaisir, de cyprine. Je reste là bandant à la fenêtre, irrigué de sperme à l'idée de l'élancer plus tard dans les lacs de viscères, boyaux, sacrum, sphincter, bourrelures et évasements. Il y a une huile baroque au plafond avec des faunes.
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26 décembre 2009 6 26 /12 /décembre /2009 22:53
A l’écart du lac, avec ses jardins désormais à l’abandon, l’hotel sans plus aucun client et des insectes dans les suites de bains. Les draps rèches et auréolés de jaune. Une faible ampoule nue au plafond d’une suite immense.  Je touche la peau. Je regarde. Pourquoi ? Un petit espace de peau. Son relief. Son grain. Pourquoi celui-ci plutôt que n’importe qu’elle autre ? le poignet ? le genou ? le trou chiffoné sans ordre du nombril ? Je bouge un peu cette peau. J’entends ton souffle. Mais je regarde juste ma fascination pour rien. Je bouge, presse un peu écarte ce très léger bourrelement de peau. Le moment où ces deux bords joints, qui collent encore, se disjoignent. Le monde infini, rouge, qui m’obsède et m’accapare, qui soudain envahit comme une tâche mon cerveau. Le monde devient aveugle. Tout se rassemble, se concentre. Il n’y a rien. 20 cm2 de peau, ça pourrait être la mienne, n’importe quoi, mais c’est cette fente avec des poils frippés sans épilations entre les jambes au bas du ventre. Toute femme en dispose comme d’une épaule, d’une joue, d’un auriculaire... et pourtant c’est une magie. Comment la biologie a-t-elle inscrit ce mécanisme dans mes neuronnes ? Comment rien de plus devient si vite la totalité de tout, le désir, l’infini, le sens et l’obsession ? Mon doigt te caresse. Entre-ouvre. Touche. Doucement. Que monte un peu d’eau. Que tu soupires. Bien sûr c’est une fleur qui s’ouvre. Une vulve. Une algue. Une anémone de mer avec ses longs bras de glu. Je regarde vivre cette plante entre tes jambes. J’ai envie de lécher cette vie. L’espèce qui nous ignore et peu à peu nous possède pour son obsessive perpétuation. Flottant comme de longues méduses phosphorescentes dans une mer noire des grands fonds. Personne n’y peut rien. Je vaquais et sur cet immense lit défait du palais abandonné du Mont Abu, je lisse d’un doigt les poils qui couvrent l’arque de cette grande lèvre. Je m’attarde au delta, la jointure ou l’organe qui t’habite t’envahit avec la même voracité. L’embouchure du monde, de ton ventre, l’urine, la cyprine, le sang. Je passe de l’une à l’autre. M’immisce dans la fragilité des petites lèvres que je voudrais manger. Je t’expose. Ici.
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25 décembre 2009 5 25 /12 /décembre /2009 21:33

L’odeur forte. Je suis mouillé dans ta vulve. Mes poils courts avec des filets de tes jus. Mon haleine tiède qui m’étouffe dans mon enfoncement dans tes cuisses. Je te mange et te lippe. Envie trop forte qui dérape. Je sens ce que tu me mets dans le cul qui me fait mal. Qui tire, pas lubrifié, pas assez lentement, je sens que ça se déchire et je te mords. Envie de douleur et de dégorgement. Je ne vois plus. Je respire mal. Tu continues. C’est ta main, ton fin et long poignet que tu tords dans mon sang et des petites glues fécales. Tu me secoues comme pour te défendre. Je n’ai plus la force de contrôler. Je bande comme une crampe et comme si ce bois n’était plus moi. Aveuglément il trouve la buté de ta bouche. Tu ne veux pas. Tu ne peux pas. Je te mache sans relache. Lèche et pourlèche. Je te fais jouir. Je t’ouvre tout le sexe. Le ventre. Tout est avachi de rouge. Tu n’a plus de tenue. Nuée de sueur. Des pertes qui m’huilent. Je sens tes hocquets quand un coup mon sexe entrouvre la bouche, s’enfourne et t’engorge à la luette. Je te fiste et je t’aspire les baillements de grandes lèvres. J’accélère la langue jusqu’à l’aveuglement sous le capuchon du clito de nacre. Par moment tu m’étrangle des cuisses pour me retenir. Et d’un enfoncement dans la gorge, tu cesses, dans un dégorgement de glaire et de mes suintements. Tout interrompre. Tu laisses ouvert mon anus, et tu te lèves. Les cheveux se défont, la robe redescend mal, chiffonée de soie vert d’eau. Je suis assis sur les lattes de bois nus, mes vêtements aux chevilles. Mon sexe bandé. Je défais les lacets et baisse la fermeture de cette robe qui te rase le cou. Je sens mon goût de sperme dans ta bouche où je fouille ma langue. Tes ongles lentement qui me strient le dos et veulent rentrer. Ton incrustation qui me saigne. Je vois tes yeux et les cheveux où je me noue. Je tire. Je trouve le trou.

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 07:02
Nous trainons dans le Jardim Botânico. Il y a les petites gouttes huileuses aux sépales des orchidées et des envols de toucans. Les cattleyas tigrés, les fins fils de nymphes rosissant de miltonia, des coryanthes mouchetées de miel dans de l’ocre sienne et des cochleanthes blanches avec veinules roses qui bavent un peu dans du velouté de pétales. Au-delà des allées de palmiers, des pierres rongées d’anciennes fontaines. Je te détaille accroupie dans les grappes difformes des epidendrum et rodriguezia. La chaleur humide qui colle et exhibe.
La chambre lounge du cinquième donne sur la baie de Guanabara. Nous avons comme souvent substitués quelques gravures de l’Arétin aux sépias fades avec cadres dorés de la chambre. Sur la petite table d’acajou tu caresses les bulbes de ces orchis fils d’un satyre et d’une nymphe. Je déboutonne dans le dos le fin coton qui éponge ta sueur. Tu me défais ceinturon, jean et boxer. En vrac, sur la moquette avec les îles entre les balustres. Je vois le remuement lourd de tes seins. Tu chevauches et me gobes. Je tire les chevilles et tu t’affales. Tu gardes les couilles qui t’étouffent un peu. Tu mords et suces cette peau de frippe. J’écarte tes jambes sur mon visage, la robe retroussée, j’écarte la culotte et tu bailles de rouge lisse. De la poisseur moite de nos errements au parc. De l’acreté de fin règles, ton huile, un peu d’oncte blanche et un goût chaud d’urine mêlés. J’appréhende un peu ce que tu fais dans mes couilles. Et je te lèche comme une toilette jusqu’au plus grand fond que ma langue atteind. Je l’agite ou la repose. J’appuie comme la bandant ou je la laisse s’écouler dans le fil des plis. Les petites hachures et corolles de roses. L’ensemble gonfle et se déplie, comme une vulve botanique, comme une poussée tropicale. De ta main tu me branles. Je mets de la salive sur mes doigts et commence à forcer l’anus. Pour ce séjour lisse. Plus la moindre pilositié sur tout ce vide qui te fonde. A pleine bouche je t’absorbe, pousse maintenant quatre doigts que je remue et ta main devient plus forte et saccadée dans l’étuve jaune de cette chambre 504.
Rio. Où le corps de Zweig fut retrouvé un matin enlacé par le bras gauche de Lotte.
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20 décembre 2009 7 20 /12 /décembre /2009 21:22
Le cuir vieux. Du bois. Le lustre d’anciens fastes du hall. Le vent et la neige qui ne discontinuent pas. Ton rond blanc immense sur les deux rectangles blancs des Hauts Tatras. Le goût de fumée dans les bois blancs et de sperme. Une simple mousse noire dans les découpes géométriques. Aucune épilation nulle part qui endommage ce rude hiver slovaque. Les belles aisselles acres. Et les débordements des rousseurs noirs. Les poils libérés des chiffonnages qui aplatissent et mélangent. Ce que les textures et textiles compriment. Ton grand sexe exposé inerte face à la haute forêt de blanc dans cette suite de la tour d’angle du Grandhotel. L’ampleur dégagée des pilosités longues, des encorbellements de boucles noirs, comme clairsemées aux plis fins de l’aine ; et à nouveau mousseux dans la fuite des cuisses et en remontant par delà le pubis. Comme une ombre mangeant jusqu’au nombril. Tu caresses tes chevilles hautes dans l’écart extrème des deux trous. Le velours de nos plaintes inarticulées qui grisent et épaississent jusqu’à l’évasement gras du cul. Je lisse de la main cette immense pelure. Ma végétation. Mon horticulture. Ma serre chaude. De la buée qui suinte déjà à ta disjointure. Je touche ton eau qui vient. Il fait trop chaud avec le craquement du bois dans la cheminée du court bureau voisin. Je mêle l’huile aux torsades devenant grasses qui interdisent toute lumière vers les grandes lèvres. Aucun jour jamais qui ne touche les fragilités. L’envie du fond de mon rut de soudain tout exposer des plaines de jus rouges. Quand tu ruisselles sans même que je te touche encore. Quand je vois le rytme quasi de ta vie dans la suffocation et l’apréhension. Il redouble de neige épaisse et humide écrasée sur la vitre.
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20 décembre 2009 7 20 /12 /décembre /2009 16:33
Un trou rouge que nul organe ne comble. Remontés des Bains d’Orient de Louise et du Comte Palffy après les chocolats épais Café Gerbeaud. Dilatée d’abandon. Plus même d’orgasmes dans cet étalement du désir et de l’attente.  Je lisse des doigts tout le pourtour de toi. Je vois battre ton coeur et tes veines dans ce fond que j’écarte. Je te lippe, je te lappe, je te lèche le cul. Mes mains, je mets deux, puis quatre, puis six doigts qui t’éventrent. Je lèche le boyau rouge. J’y secoue ma langue. Ta croupe se surélève avec suintement, gémissement et abandon dans les balcons du Danube vers les dômes du Gresham Palace. Comme un syphon de rouge. Un magma de tes boyaux au fond de l’anus qui est mon horizon. Le sphincter n’a plus de résistance. Les eaux pourraient désormais te noyer par le fondement. Comme les supplices des Jardins. Mais j’en caresse la fragilité. Comme une glace négative. Un trou d’abondance. Une impasse. Vaste lac rouge peu à peu ouvert au beau milieu du blanc de ton cul. Je vois tout ce qui se mouille un peu plus bas. Je caresse le blanc opaque. L’opulence aveugle des fesses. Je m’enfourne. Le nez, le menton, un bouc de deux jours qui en irrite le retroussement. Un trou rouge que nul organe ne comble. Sans fin.
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