3 janvier 2010
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11:20
Grande baie sur downtown Reno. Tout est
bleu et gris. J'attaque par l'aréole. Tu te réveilles. Je regarde sa flaque molle et j'écoute ces rumeurs de rues étrangères. Je m'approche et je pose juste ma bouche close sur la peau si lisse
de s'être abandonnée à la chaleur des draps. Cet abandon de l'aréole quand elle s'étend et se répend dans le sein mou et doux. Aucun relief, à peine les nuances de couleurs avec comme en
négatif le bouton camouflé. Je laisse mon nez. Je hume, je palpe. Je pose un peu ma bouche avec insistance. Je mouille un peu mes lèvres. J'entrouve la bouche et flotte avec de fins fils humide
sur cette onctuosité qui bat. Je tisse un désordre avec un peu d'adhérence, je me calle, la bouche entière qui se colmate sur ton sein. J'aspire légèrement. Et du fond de la gorge, je sors la
langue que je viens poser d'un coup à plat sur le têton. J'appuie, je mouille, je pourlèche. Tout qui se dresse, ta peau devenant grenue, le monticule qui se durcit. Un relief se dessine. Tu
bandes. Je te mordille, léchouille. J'alterne un rythme irrégulier de suçons et de salive qui t'amollissent. Je lèche ton sein bandé. Tes yeux béent. Ton souffle se saccade et tu écartes grands
tes jambes nues sous les draps. Je me concentre et lèche et aspire et caresse de la langue et des lèvres cette mamelle mouelleuse, épaisse et chaude. Tu gémis. Tu gémis fort. Et resserres d'un
coup tes jambes.