10 janvier 2010
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Puisqu'il fait si chaud. Les volets de la
chambre sont toujours rabattus. Les rideaux lourds en panne de velours sont tirés à moitié. Il y a la rumeur de la climatisation dans la pénombre de la chambre et le calme du patio intérieur
sur lequel les fenêtres sont closes. Tu as une robe légère et brique avec de petits motifs blancs qui te colle à la peau. Les cheveux en désordre retenus d'un crayon de bois. Tu n'as rien mis
d'autre que cette robe sur ta peau chaude de retour du Pincio. Il y a des mèches qui collent au visage et au cou. Mouillée de cette chaleur et de ce temps que nous savons que nous avons ici et
maintenant dans cette chambre. Je referme la porte de bois vieux de deux tours. Tu es là, devant, accroupie à servir deux campari avec de l'orange du mini-bar. Je bande avec ce petit
aveuglement où je bascule. Tu as la voix chaude et nous goûtons ces lentes minutes avant que nos doigts, les bouches dans les trous ou de longues lampées étouffantes, les congestions de choses
musculeuses, que tout cela se liquéfie de nos sueurs et des heurts sourds. Mais rien encore. La légerté de ta robe qui volette sur rien. Et nos gestes qui se frôlent encore et se
désaltèrent.
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9 janvier 2010
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23:59
Je suis debout sur le parquet glacé de
cire avec les couilles qui pendent. Il y a des poils clairsemés et la peau frippée sur les chiffons de bourses. Tu me mets à quatre pattes sur le bois et me fais écarter un peu les cuisses. Il
y a des touffeurs de verdure sur la terrasse entre lesquelles on ne voit rien. Il y a des ogives larges et blanches au-dessus des portes et des vastes sièges d'ében noir. J'ai le cul nu et tu
es par derrière à quatre pattes également. Tu me lèches les fesses et la raie. Tu me lèches l'anus et les noeuds de poils usés sur le bourrelet de ce trou. Tu lèches les couilles
pendouillantes, le sexe épais et mou. Décalotté et fripé. Ce vestige de la bête pour notre reproduction. Tu renifles dans mon cul huilé et qui se mouille de sueur. Je te sens mordiller les
flétrissures des bourses et tu gobes mon sexe mou. Tu es dans mon dos, entre mes cuisses ouvertes. Tu me décalottes et baves un peu sur cette viande flasque. Tu t'étouffes dans
l'enfourmement de la queue et des boules. Tu suces, aspires et je sens que du sang se dégorge dans les masses caverneuses. Ça se déplie et fouille l'étouffement dans ta gorge. Je bande. Tu
lèches le singe de mon anus. Sa corolle épaisse. Plus tard, tout rebasculer. Ou se rincer dans l’Océan chaud.
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9 janvier 2010
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23:56
Tout remue dans des acajous qui grincent.
A chaque gare, la nuit, on entend dans l’étouffement de chaleur “tchaï, tchaï” montant du quai. A un moment, je me suis retrouvé le nez dedans. Il y avait cette odeur chaude, acre et humide.
Quelque chose d'un peu acide et rance dans les plis de l'aine et le rebord des lèvres mauves, un fond d'urine tapis dans les poils collés au pubis par la culotte que je dépiaute. Puis cette eau
un peu plus saliveuse et légère quand je commence à lécher doucement à l'intérieur. J'écarte le rebours et m'enfonce comme sans fond. On s'ouvre et m'accueille. Je pousse, je nettoie autant que
je fouille. Il y a de l'eau qui commence à venir. Ton sexe est propre, chaud, et je le laisse s'ouvrir, se déplier. Je m'applique de la langue à redisposer sans succès les fines plissures des
petites lèvres en pagaille. Les poils si noirs, les foncés de bourrelures marrons. Cela baille, s'effondre de rouge dans l’ouverture et de suintements limpides et huileux. Je suis de la langue
les contours. Les peaux avec les grains. Les lèvres. Je fouille et me disperse. Je glisse vers la commissure enfouit du noeud des petites chairs roses que je dégage. Un peu de nacre qui
respire, que je couvre d'eau et contourne d'une mollesse de langue. J'absorbe le tout que j'aspire et remue.
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3 janvier 2010
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11:20
Grande baie sur downtown Reno. Tout est
bleu et gris. J'attaque par l'aréole. Tu te réveilles. Je regarde sa flaque molle et j'écoute ces rumeurs de rues étrangères. Je m'approche et je pose juste ma bouche close sur la peau si lisse
de s'être abandonnée à la chaleur des draps. Cet abandon de l'aréole quand elle s'étend et se répend dans le sein mou et doux. Aucun relief, à peine les nuances de couleurs avec comme en
négatif le bouton camouflé. Je laisse mon nez. Je hume, je palpe. Je pose un peu ma bouche avec insistance. Je mouille un peu mes lèvres. J'entrouve la bouche et flotte avec de fins fils humide
sur cette onctuosité qui bat. Je tisse un désordre avec un peu d'adhérence, je me calle, la bouche entière qui se colmate sur ton sein. J'aspire légèrement. Et du fond de la gorge, je sors la
langue que je viens poser d'un coup à plat sur le têton. J'appuie, je mouille, je pourlèche. Tout qui se dresse, ta peau devenant grenue, le monticule qui se durcit. Un relief se dessine. Tu
bandes. Je te mordille, léchouille. J'alterne un rythme irrégulier de suçons et de salive qui t'amollissent. Je lèche ton sein bandé. Tes yeux béent. Ton souffle se saccade et tu écartes grands
tes jambes nues sous les draps. Je me concentre et lèche et aspire et caresse de la langue et des lèvres cette mamelle mouelleuse, épaisse et chaude. Tu gémis. Tu gémis fort. Et resserres d'un
coup tes jambes.
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3 janvier 2010
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Il fait grand jour. Rideaux de pluie et des brumes sur les monts
Grampians. La pierre ruisselante et luisante des ruines du vieux château de Kildrummy. Les quatres bow-window sur la terrasse et les balustres. Fenêtres basses qui arrivent aux genoux. Tu es
accroupie et je vois d'abord apparaître cette peau nue, un peu épaisse en contraste avec le visage si fin et blanc de blondeur aux sourcils. Et puis cette surface de bronze, mate, déjà dorée
contrastant avec les peaux laiteuses du personnel. Je ne parle pas ta langue ni toi la mienne. Je touche cette peau chaude et comme indénudable. Je défais le bouton du djean et baisse ta taille
basse emportant un string de coton et dentelles blanches. Tu dis quelque chose que je ne comprends pas, mais tu me laisses faire. Je te caresse la croupe, je passe un doigt dans la raie qui est
chaude. Il n'y a presque rien qu'à peine un fin duvet que je devine, et je touche sans m'y être préparé des chiffons de petites lèvres toutes mouillées. On voit par la fenêtre, de l'autre côté
du jardin au creu du vallon, les hautes ruines de l'ancienne chapelle du château. Je mets ma langue sur ton anus sec et sans aspérité, tu reposes ta tête sur la moquette bleue et redresses un
peu tes hanches. Je m'y installe, te tiens par les deux mains, et descends ma langue pour sécher ta vulve que je découvre si rose et avec si peu de poils taillés ras et dans cette forme de
colonne que je trouve commune.
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3 janvier 2010
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11:17
Mer grise et turquoise avec du vent dans
tout le blanc des mousselines. Déjà de la sueur qui nous met humide dès le matin. Plein soleil à travers les claies.
La bouche parfaitement ajustée à
l'amende. La douceur fragile de toutes les lèvres. La rugosité un peu âpre des poils du rebord. Le petit enflement liquide à mesure que j'infiltre ma langue, fouille les nodosités du canal
rouge et que tes contractions strillent. Je lèche les coussins rouges dans la vulve. Contraindre de la lèvre supérieure l'infime capuchon qui se découvre dans les à-coups et suintements de
cyprine. Je bouge la bouche et ton baillement s'évase, grandes lèvres écarts, petites lèvres avachies et distendues et ma bouche qui s'absorbe dans cet effondrement de rouge. Je la déplie
lentement, la replie, par moment la tend jusqu'à la cambrure. Je te lèche, te pourlèche. De ma langue j'écarte tout, je force tout. Je l'enfourne et je m'immisce. Par moment elle prend une
petite vitesse de frénésie. Je te lappe et je te lipe. Je suce, aspire, malaxe les tissus de nymphes. Je mordille et contracte. J'arrête d'un coup.
Te lisse lentement le sexe de la langue.
Je reprends. Je l'agite. Je veux que tu jouisses. Que tu te cambres. Quand tu m'étouffes dans le resserrement de tes cuisses. Et que tu râles de ça. Que tu m'innondes. Que tu retombes. Comme un
avachissement et le retour enfin du sens de tout.
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3 janvier 2010
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11:15
Plumeau d'acajou sur l'armoire à glace.
Toiles Fortuny sur des tringles forgées de noir et vitraux en cul de bouteille mauve, vieux rose et vert délavé. Recourbée en avant comme une poire qui oscille sur mon sexe roide. Je te tiens ce
cercle de croupe qui se dédouble dans la glace. Tu échappes. Il y a ton épaule qui ondule et se déploie. Cette pelure nue et absente même l'hiver dans cette chambre chaude. L’invraissemblable
exhibition lisse et nue de la peau humaine. Blanche. Tu bouges et expose la trousse. Il y a l'épaisseur molle, ferme et blanche du cul que tu soulèves. Comme une bourrelure qui marque l’écart
entre la cuisse large et l’opulence de la fesse fendue des trous. Cette force et cette masse corpuleuse de grand animal. Tes mamelles qui remuent. Lourdes, lentes. Plus de cinquante kilos de
viandes. Si lisse, si blanche, si nue. Simplement de longs cheveux bruns en désordre, en torsade de crin et d’épaisseur. Une mousse de poils noirs aux aisselles et ce reste de pelage du temps des
grottes dans l'écartement de l’aine. Densité de frisures qui se collent. Gras et humide, comme un gel, par mèches et ce baillement rouge qui suinte. Les lèvres épaissent contaminées de poils qui
les couvrent jusque vers l’intérieur, et les fines ridules irrités de sang de petites lèvres. Cet oeil rouge chiffonné comme du coquelicot. Tu rampes, tu grimpes, grognes. Il y a ton reflet dans
la glace qui baie de l’armoire. J’ai de la bave et le sexe roide luisant de cyprine. Tu joues et retardes. Des rumeurs de gondoles et motoscaf sous la fenêtre. Tout assourdi par la neige de ces
jours derniers sur Venise. Il y a du rut. Je cherche à aggripper de mes ongles le gras mou du cul. Je veux l’écarter, l’enfourner. Qui me bouscule. Tu lèches l’anus bourrelé, les couilles. Je
prends la masse mamellaire. Aspire au sang les aréoles larges et fondues de lait. Je te suce. Je sens tes glaires quand je pousse une secousse de mon gland étouffé dans ta gorge. Il y a du
souffle rauque. Il y a de l’amnésie. L’espèce prête à beaucoup trop. Une rumeur de sueur, de hoquets avec un goût acre dans ton sexe et des giclés de filamandreuses blanches comme des méduses la
nuit.
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3 janvier 2010
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Puisque tu dors. Je rode autour de ta
croupe monumentale. Il y a l’Agua Bathhouse et la cage de verre de la salle d’eau ou tu passes tes journées. Zest End. Nue. Les draps en chiffons et tes cheveux longs, épais, emmêlés... La peau
molle et qui brille. Trop chaud dans la chambre avec le givre dehors qui fume par endroit. Je bande nu. J'écarte tes jambes dans ton sommeil. Le noir des poils remonte dans ta raie qui
s'entrouvre. Comme accroupis au-dessus de toi, je passe le gland congestionné de retenu dans ce nid de poils. Je pousse un peu. Je le pose. Je sens du mouillé au fond des poils. Je m'en lèche
doucement le gland. Le laisse déraper, et remonter dans le resserrement de la raie touffue jusqu'à l'anus clos. Je n'en peux plus. Je me lève avec mon sexe et je vais à la fenêtre. Tu geins un
peu. Tu remontes la croupe. Et je vois sortir, comme fleurir, dans ton entre-cuisses, deux mains qui très lentement écartent, caressent, appuient les pourtours de vulve, en passant avec soin sur
le haut de jointure. Je t'entends geindre plus fort. J'entends ton souffle un peu rauque. La place rouge s'évase, avec des suintements et des lamelles, fibrules de nymphes. Tu dégorge soudain de
plaisir, de cyprine. Je reste là bandant à la fenêtre, irrigué de sperme à l'idée de l'élancer plus tard dans les lacs de viscères, boyaux, sacrum, sphincter, bourrelures et évasements. Il y a
une huile baroque au plafond avec des faunes.
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26 décembre 2009
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A l’écart du lac, avec ses jardins
désormais à l’abandon, l’hotel sans plus aucun client et des insectes dans les suites de bains. Les draps rèches et auréolés de jaune. Une faible ampoule nue au plafond d’une suite
immense. Je touche la peau. Je regarde. Pourquoi ? Un petit espace de peau. Son relief. Son grain. Pourquoi celui-ci plutôt que n’importe qu’elle
autre ? le poignet ? le genou ? le trou chiffoné sans ordre du nombril ? Je bouge un peu cette peau. J’entends ton souffle. Mais je regarde juste ma fascination pour rien. Je bouge, presse un
peu écarte ce très léger bourrelement de peau. Le moment où ces deux bords joints, qui collent encore, se disjoignent. Le monde infini, rouge, qui m’obsède et m’accapare, qui soudain envahit
comme une tâche mon cerveau. Le monde devient aveugle. Tout se rassemble, se concentre. Il n’y a rien. 20 cm2 de peau, ça pourrait être la mienne, n’importe quoi, mais c’est cette fente avec
des poils frippés sans épilations entre les jambes au bas du ventre. Toute femme en dispose comme d’une épaule, d’une joue, d’un auriculaire... et pourtant c’est une magie. Comment la biologie
a-t-elle inscrit ce mécanisme dans mes neuronnes ? Comment rien de plus devient si vite la totalité de tout, le désir, l’infini, le sens et l’obsession ? Mon doigt te caresse. Entre-ouvre.
Touche. Doucement. Que monte un peu d’eau. Que tu soupires. Bien sûr c’est une fleur qui s’ouvre. Une vulve. Une algue. Une anémone de mer avec ses longs bras de glu. Je regarde vivre cette
plante entre tes jambes. J’ai envie de lécher cette vie. L’espèce qui nous ignore et peu à peu nous possède pour son obsessive perpétuation. Flottant comme de longues méduses phosphorescentes
dans une mer noire des grands fonds. Personne n’y peut rien. Je vaquais et sur cet immense lit défait du palais abandonné du Mont Abu, je lisse d’un doigt les poils qui couvrent l’arque de
cette grande lèvre. Je m’attarde au delta, la jointure ou l’organe qui t’habite t’envahit avec la même voracité. L’embouchure du monde, de ton ventre, l’urine, la cyprine, le sang. Je passe de
l’une à l’autre. M’immisce dans la fragilité des petites lèvres que je voudrais manger. Je t’expose. Ici.
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25 décembre 2009
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L’odeur forte. Je suis mouillé dans ta vulve. Mes poils courts avec des filets de tes jus. Mon haleine tiède qui
m’étouffe dans mon enfoncement dans tes cuisses. Je te mange et te lippe. Envie trop forte qui dérape. Je sens ce que tu me mets dans le cul qui me fait mal. Qui tire, pas lubrifié, pas assez
lentement, je sens que ça se déchire et je te mords. Envie de douleur et de dégorgement. Je ne vois plus. Je respire mal. Tu continues. C’est ta main, ton fin et long poignet que tu tords dans
mon sang et des petites glues fécales. Tu me secoues comme pour te défendre. Je n’ai plus la force de contrôler. Je bande comme une crampe et comme si ce bois n’était plus moi. Aveuglément il
trouve la buté de ta bouche. Tu ne veux pas. Tu ne peux pas. Je te mache sans relache. Lèche et pourlèche. Je te fais jouir. Je t’ouvre tout le sexe. Le ventre. Tout est avachi de rouge. Tu n’a
plus de tenue. Nuée de sueur. Des pertes qui m’huilent. Je sens tes hocquets quand un coup mon sexe entrouvre la bouche, s’enfourne et t’engorge à la luette. Je te fiste et je t’aspire les
baillements de grandes lèvres. J’accélère la langue jusqu’à l’aveuglement sous le capuchon du clito de nacre. Par moment tu m’étrangle des cuisses pour me retenir. Et d’un enfoncement dans la
gorge, tu cesses, dans un dégorgement de glaire et de mes suintements. Tout interrompre. Tu laisses ouvert mon anus, et tu te lèves. Les cheveux se défont, la robe redescend mal, chiffonée de
soie vert d’eau. Je suis assis sur les lattes de bois nus, mes vêtements aux chevilles. Mon sexe bandé. Je défais les lacets et baisse la fermeture de cette robe qui te rase le cou. Je sens mon
goût de sperme dans ta bouche où je fouille ma langue. Tes ongles lentement qui me strient le dos et veulent rentrer. Ton incrustation qui me saigne. Je vois tes yeux et les cheveux où je me
noue. Je tire. Je trouve le trou.
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