Je te vois toute blanche avec ta viande qui remue, le ventre, les fesses dans leur masse flasque. Tu bouges, de dos, de face, tu denses un peu avec déhanché et bras hauts, à contre rythme des seins comme de petites gourdes un peu fermes. Tu es nue, toute nue, comme une bête, toute blanche, sans poil à part ta grosse touffe au sexe, la peau lisse comme aucun n'animal n'oserait s'aventurer dans la terre, la boue, la jungle. Tes cheveux sans ordre. Je regarde tes fesses, je suis ta croupe, comme une magie, une aspiration. Tu parles, tu fais des choses. Je n'entends rien. Je suis seulement la raie qui se déplace entre les deux masses molles de fesses. Je veux des mains les écarter en te poussant un peu que les tiennes sur un meuble retiennent ta cambrure et simplement étouffer ma verge qui bande dans une sodomie qui dégorge mon sperme en une saccade. Je te vois vivre nue. Je te filme, je te photographie, je te zoome jusqu'à l'étouffement de tes intérieurs suintant de rouge... Aucune idée de reproduction, mais simplement de secouement de mes reins sans relâche jusqu'à la monté du sperme comme la plus belle de tous les émotions que nous propose le monde. Envie de te baiser comme un rut saisonnal. Te laisser courir, t'épuiser, tremper ton corps de sueur. Laisser des hurlements rauques se vomir de nos boyaux.