La chambre est blanche. C'est un appartement. Une ville européenne, immeuble récent, décor design et minimal, un bras de fleuve très vert en contrebas. Tu ouvres, il fait chaud, ça brille un peu entre tes seins d'Orient et d'Espagne humides. C'est pour moi, ils sont lourds, assez bruns et mal tenus dans ce coton blanc un peu élastique qui ne cache rien de tes larges aréoles de lait et du bout de têton qui proémine. Tu as un velours de poils noirs sur l'avant-bras qui trahit toute la velure, foins de poils noirs de ta vulve et qui remontent dans la raie des fesses au trou qu'ils obturent. Il fait grand jour avec les vitres et les angles de la chambre, les voilages blancs, les larges cuirs blancs Charles & Ray Eames, aucune couleur que la broussaille noire quand tu auras déposé tes vêtements qui mange tout le blanc de ton ventre et pubis. Tu dis je préfère me caresser que ces hommes que je ne trouve pas à mon goût. De longs mois, je me repasse des images, des souvenirs, je me retiens et je jouis, et je tombe de sommeil. Je défais le djean et tu dis tu sais il y en a qui ne lèche pas alors que je baisse le djean et le string qui vient avec comme d'une dentelle compliquée de victoria secret. J'aime les chiffons de poils acres de ton aisselle et le fouillis noir de l'aine, et apparait alors ton ventre lisse que tu as épilé pour une surprise à l'intégrale laissant luire ce brillant de ta peau du sud avec exposés les plis compliqués de tes petites lèvres grises et mauves qui s'exhibent bien en vue dans ta vulve qui baille. Je te dis doucement des choses qui te mouillent ces peaux. Tu me dis que tu aimerais bien que je vienne avec H, que tu as peur d'après, de ta honte, de choses irréparables alors que tu es maintenant à la renverse sur ton lit, le pantalon tirebouchonné aux chevilles, je remonte sous le coton les mains à la chaleur de tes seins, tes gros seins doux et moelleux à l'étal, avec ma bouche qui lampe un peu tes petites douceurs de lèvres et de cyprine. Je te lèche avec application et humidité, je dégage un peu l'intérieur du rose et tu me dis non la sodomie je n'ai pas osé tu sais je dis beaucoup non bien sûr si je fais un SMS un peu explicite alors ils rappliquent tous alors tu vois c'est plus simple je me caresse il n'y a pas de complications je ne commence pas trop à tomber amoureuse avec ma tristesse qui s'emballe ou je ne me réveille pas avec cette impression de sale et de dégradation. Des deux mains je t'écarte bien, profondément je te mange avec légèreté, relève ta croupe, tu dégages le djean, les high heel en vrac au pied du lit, tu remontes tes chevilles au visage et j'attaque avec volupté la rondelle annelée que j'anilincte, que j’humecte, que je fragilise et cautérise alors que tu gémis une sorte de terreur vorace, je te lèche et y pousse le bout de ma langue au fond de ton trou du cul.