9 janvier 2010
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Je suis debout sur le parquet glacé de
cire avec les couilles qui pendent. Il y a des poils clairsemés et la peau frippée sur les chiffons de bourses. Tu me mets à quatre pattes sur le bois et me fais écarter un peu les cuisses. Il
y a des touffeurs de verdure sur la terrasse entre lesquelles on ne voit rien. Il y a des ogives larges et blanches au-dessus des portes et des vastes sièges d'ében noir. J'ai le cul nu et tu
es par derrière à quatre pattes également. Tu me lèches les fesses et la raie. Tu me lèches l'anus et les noeuds de poils usés sur le bourrelet de ce trou. Tu lèches les couilles
pendouillantes, le sexe épais et mou. Décalotté et fripé. Ce vestige de la bête pour notre reproduction. Tu renifles dans mon cul huilé et qui se mouille de sueur. Je te sens mordiller les
flétrissures des bourses et tu gobes mon sexe mou. Tu es dans mon dos, entre mes cuisses ouvertes. Tu me décalottes et baves un peu sur cette viande flasque. Tu t'étouffes dans
l'enfourmement de la queue et des boules. Tu suces, aspires et je sens que du sang se dégorge dans les masses caverneuses. Ça se déplie et fouille l'étouffement dans ta gorge. Je bande. Tu
lèches le singe de mon anus. Sa corolle épaisse. Plus tard, tout rebasculer. Ou se rincer dans l’Océan chaud.